Lycée Camille Claudel : l’éducation dégradée
140 h de cours en moins, 2 classes supprimées, 35 élèves par classe. Ces chiffres de janvier donnent le tournis.
Le maire, dans sa course à un “pôle d’excellence”, a choisi de soutenir l’ouverture d’un lycée international élitiste. Un an après, ceci affecte directement les moyens du lycée C. Claudel et ne fait qu’accroître les inégalités.
Tandis que le maire feint cyniquement de défendre C. Claudel, profs, parents et élèves se battent pour qu’un enseignement de qualité reste un droit égal pour toutes et tous.
Avec l’urbanisation croissante du plateau que le maire favorise et sans vision à long terme des politiques, supprimer des classes aujourd’hui pour en rouvrir dans quelques années a-t-il un sens ?
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Claire Pinto et Christine Maupas
PEPS 